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Sorties en mer

prix des plongées

3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 16:55
EXCLUSIF!....

Extrait d’une correspondance entre le roi LOUIS XV et Madame de POMPADOUR

 

CNT – Chasse au trésor - N°1




Versailles,

Octobre 1759



Mon amie Grâce à votre accord, le royaume de France se prépare à une grande victoire sur nos ennemis anglais et leurs alliés de Prusse et d’Hanovre !

Nos pertes de territoires en Amérique du Nord et les tentatives anglaises de blocus de nos principaux ports de l’année dernière nous font voir rouge ! Malheureusement, nos récentes victoires ont un prix. Les caisses du royaume sont vides et ce n’est pas le savoir de Monsieur Diderot avec son encyclopédie ni même l’érudition de votre protégé, Monsieur Voltaire, et son Candide qui vont les remplir. Nous devons concentrer nos efforts militaires contre notre véritable ennemi : l’Angleterre. Il faut renverser le roi d’Angleterre Georges II et réinstaller la famille Stewart sur le trône !


Grâce à nos alliés autrichiens qui gouvernent les Pays-Bas, nous partirons d’Ostende pour atteindre Londres. Un deuxième corps débarquera en Ecosse et attaquera l’Angleterre par le Nord. Notre très cher et bien aimé cousin le Duc d’Aiguillon, gouverneur de Bretagne nous a apparu le plus propre que personne à remplir le commandement des dites troupes. Il aura 20 000 hommes, 24 bataillons et un régiment de Dragons. Ce corps de troupe sera escorté par Monsieur le Comte Hubert de Conflans qui fera partie de cette flotte jusqu’à la rivière Glasgow.


Nous faisons finalement confiance à Monsieur de Conflans en espérant que ses différents avec le Duc d’Aiguillon ne se retournent pas contre nous ! Il est tout de même Maréchal de France et, du haut de ses 69 ans (dont 50 ans de Marine), il peut nous mener à la victoire. Nous avons foi en son commandement et laissons à son expérience et son courage de profiter de toutes les circonstances qu’il croira être favorables pour attaquer les escadres et vaisseaux qui tiennent les croisières d’Ouessant et de Belle-Île.


Croyez, ma mie, qu’il nous tarde de réaliser ce dessein prestigieux pour la France autant que de vous revoir.


Votre dévoué,

Louis XV

Roi de France

 

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